Les auteurs s'intéressent aux facteurs qui font que les filles, bien qu'ayant de meilleures performances que les garçons à l'école, sont moins représentées dans les filières prestigieuses, notamment scientifiques, et qu'elles ont plus de difficultés à transformer leur capital scolaire en ressources professionnelles.
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Ils analysent ainsi les phénomènes d'autosélection et de déperdition proprement institutionnelle des filles, les stéréotypes féminins ainsi que la place des femmes dans l'institution scolaire.